Prévisions IDF jusqu’au 25 avril

 

Soleil et grande douceur !

Les semaines passent et ne changent pas, la sècheresse se poursuit sur une grande partie du pays et notamment le nord de la France où les pluies se font peu abondantes depuis le début de l’année et plus encore depuis le début du mois d’avril.

Celle à venir ne dérogera pas à la règle, malgré des pressions qui ne sont pas aussi élevées qu’elles ont pu l’être précédemment, mais la circulation globale des nuages et des masses d’air va continuer à apporter un temps très doux et ensoleillé sur le nord du pays. Le sud, en marge de nuages présents en Espagne, sera plus nuageux et parfois pluvieux.

Sur l’Ile de France, ces nuages n’arriveront que de manière dispersée, ne faisant que réduire légèrement l’ensoleillement et très légèrement les températures.

Situation en altitude pour la nuit de mardi à mercredi :

 

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Entre une zone de basses pressions au large du Portugal et une autre sur la Turquie, la France est protégée par une zone de hautes pressions apportant un air doux (couleur jaune). La circulation perturbée atlantique est rejetée très loin au nord, au-delà de l’Ecosse.

Jusqu’à vendredi inclus, la région parisienne restera en marge des basses pressions ibériques, seuls quelques nuages élevés s’immisceront sur la région parisienne. Températures maximales dépassant les 25° dans Paris et en vallée de Seine en banlieue, dans les 23-24° sur les plateaux de banlieue.

 

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Situation prévue vendredi à la mi-journée : le mauvais temps influence le sud de la France, alors qu’un grand quart nord-est est protégé par les hautes pressions continentales

 

Ce WE, les nuages devraient remonter un peu plus au nord, mais le soleil devrait résister sur la région parisienne. L’impression de beau temps devrait subsister jusqu’à la fin du WE pascal. Températures encore d’un bon niveau avec 22-24° en pointe de la banlieue au cœur de Paris.

 

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Situation prévue dans la nuit de dimanche à lundi : peu de changement, les basses pressions ibériques restent cantonnées à l’Ibérie et le flux perturbé atlantique est toujours loin de notre pays, toujours rejeté par les hautes pressions nord-européennes. La douceur reste de mise sur une grande partie de l’Europe.

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